Anett Fritsch is a delightful Susanna . . .
{Anett Fritsch est une délicieuse Suzanne . . .}
Anett Fritsch is a delightful Susanna . . .
{Anett Fritsch est une délicieuse Suzanne . . .}
On est consolé par la fraîcheur, la limpidité du timbre et la précision d’élocution de Cherubino, attachante composition de la mezzo-soprano allemande Anett Fritsch — dont le premier air ( « Non son più cosa son » ) est aussi le permier à être applaudi —, qui remporte aux saluts un triomphe justement mérité.
– ForumOpera.com
La distribution vocale est particulièrement réussie, et les deux couples très homogènes, aux timbres particulièrement riches, donnent entière satisfaction. La palme revient sans doute à la Fiordiligi d’Anett Fritsch, voix chaude et chargée d’émotion, bouleversante au deuxième acte quand elle chante « Per pieta ben mio, perdona » qui marque le passage au drame. Dorabella (Paola Gardina), légèrement en retrait, maîtrise parfaitement le rôle et se montre remarquable musicienne dans les duos.
– Forum Opera
Ce théâtre calculé au millimètre et peaufiné dans les détails exige énormément de la distribution qui réalise un travail formidable. Anett Fritsch (Fiordiligi) et Paola Gardina (Dorabella) entremêlent remarquablement leurs timbres. Bien qu’elles développent toutes les deux une vocalité quasiment parfaite, la soprano allemande, diablement irrésistible dans sa robe rouge, offre une incarncation plus en relief.
– Concertonet
Recrutés pour leur jeunesse et leur appétence pour le travail scénique, les interprètes jouent avec autant de précision et de justesse qu’ils chantent. La soprano Anett Fritsch fait preuve d’un beau tempérament dans le rôle de Fiordiligi qui semble ravoir été écrit pour elle, Dorabella étant défendue avec le même aplomb par la mezzo Paola Gardina, qui rappelle physiquement Diane Keaton et Frederica von Stade. Le Ferrando de Juan Francisco Gatell convainc davantage par un jeu éruptif et serré qu’un chant perturbé par quelques nasalités.
– Concertclassic
Les deux couples sont formidables. Peut-être faudrait-il distinguer l’Allemande Anett Fritsch, soprano aux aigus magnifiques qui sait descendre tout d’un coup dans les profondeurs et y trouver un émail, un timbre de voix tout à fait dramatiques. Son air-rondo „Per pietà, ben mio, perdona” est un chef d’œuvre du soprano, de la comédienne et du metteur en scène. Anett Fritsch vient de chanter Susanna, un rôle proche de Fiordiligi, et un autre d’un registre assez différent, celui de Blanche de la Force ! Petit détail anecdotique : tout le monde s’entiche de la robe rouge de Fiordiligi (Bickel et Uhrmacher). Avec elle, son partenaire dans le rôle de Guglielmo, Andreas Wolf, domine le rôle avec toutes les nuances déduites par Haneke et avec la très belle voix ( mais aussi son talent de comédien ), dense et puissante de ce baryton allemand. Une voix qui mérite un très bel avenir.
– Concertonet.com
Da geben auch die Sängerdarsteller gern auf hohem Niveau ihr Bestes. Anett Fritsch gilt längst als einer der Stars auf der Düsseldorfer Bühne und zeigt, wie man eine Anne Trulove bis in die letzte Faser hinein begeisternd darstellt. Sie stellt das Mädchen vom Lande dar, ohne trutschig zu werden, und bringt eine Venus ans Grab, die an Glaubwürdigkeit nicht zu übertreffen ist. Ihre Stimme bewältigt die Anforderungen meisterlich.
– Opernnetz
Absolute Entdeckungen sind dagegen die Sopranistinnen Anett Fritsch (in der Hosenrolle des Merione) sowie Valentina Farcas in der Partie von Telemacos geliebter Asteria. Beide Künstlerinnen sind exzellente Singschauspielerinnen. Und also tragischer Ulisse verströmt Rainer Trost feinsten Tenorklang. Der einhellige, frenetische Jubel für alle Beteiligten geht absolut in Ordnung.
– Kurier
Musikalisch konnte man einige eindrucksvolle Leistungen erleben, insbesondere Luca Pisaroni als klangintensiver, nuancenreicher Argante wusste zu überzeugen, ebenso Anett Fritsch (für die eigentlich vorgesehene Sandrine Piau) mit klangvollem lyrischen Sopran als Almirena. Das berühmte, hier wunderbar innig vorgetragene „Lascia ch’io pianga” wurde so zu einem Höhepunkt der Aufführung.
– Das Opernglas
Dafür betont Düsseldorfs GMD Axel Kober die überreichen Kontraste von Widmanns Musikpatchwork umso plakativer. Besonders beide Sängerinnen können davon profitieren. Anett Fritsch schraubt also Justine ihre anrührend schönen Vokalisen makellos mit feinstein Vibrato-Übergängen und Abstufungen in stratosphärische Koloraturhöhen.
Es war ihr Abend: Als Blanche-Darstellerin Anett Fritsch am Ende dieser Poulenc-Premiere zum Solo-Applaus noch einmal auf die Bühne der Düsseldorfer Oper kam, wurde sie von Publikum frenetisch gefeiert – mehr als alle anderen Beteiligten, unter denen sich mi Anja Silja immerhin eine lebende Opernlegende befand. Bejubelt wurde dabei zunächst der Mut der 24-Jährigen, die eigentlich erst fúr zwei spätere Vorstellungen vorgesehen war, nun aber ganz kurzfristig eine erkrankte Kollegin ersetzt hatte. Doch war es nicht der Mut allein, der die Ovationen rechtfertigte. Von der ersten Szene an hatte die junge Sopranistin aufhorchen lassen, zunächst mit der puren Schönheit ihres lyrischen Soprans, der sich zur Höhe hin wunderbar öffnet und zu herrlich schwebenden Piano-Phrasen in der Lage ist. Je länger der Abend dauerte, desto tiefer drang Fritsch in die Figur ein, machte deren Ängste stimmlich wie darstellerisch glaubhaft, verstand es zu bewegen und zu berühren. Zusätzliches Lob verdient ihre mustergültige französische Artikulation – eine große Herausforderung für jeden Nicht-Muttersprachler, der sich an dieses textlastige Stück wagt.
– A. Laska, Das Opernglas